[Janvier 2019]
Comment parler de l’AABP sans évoquer son fondateur et président, Max ! De la prépa à la Formule 1 en passant par l’ESSEC, les États-Unis et Manchester City FC, Max réussi à faire de sa passion pour le sport une réalité. Nous vous invitons à découvrir son parcours captivant qui nous prouve que tout est possible si on s’en donne les moyens.
Très bonne lecture à tous !
L’Équipe AABP.

La CPGE à Blaise
– AABP : Bonjour Max ! Merci de prendre le temps de répondre à nos questions durant ces vacances de fin d’année 🙂 Commençons par le commencement, alors que tu n’étais encore qu’en Terminale, pourquoi as-tu choisi la filière ECS ?
– Max : Comme beaucoup de lycéens, mes connaissances sur l’école de commerce étaient limitées et j’ai principalement suivi les conseils de mes professeurs et proches sans vraiment totalement savoir à quoi m’attendre. Je savais que je ne voulais pas faire de CPGE Scientifiques car même si j’étais plutôt bon dans les matières scientifiques au Lycée, je n’y prenais pas tant de plaisir et l’idée de devenir ingénieur ne m’attirait pas tant.
– AABP : Et pourquoi as-tu choisi de faire ta CPGE à Blaise Pascal ?
– Max : J’avais un temps pensé à aller sur Lyon, mais le fait de pouvoir rester à la maison – j’habitais à Gerzat – a compté et sachant que mon dossier n’était pas grandiose j’ai vite été convaincu que Blaise était la meilleure option pour moi ! Finalement même si on y accorde toujours beaucoup plus d’importance qu’on y devrait, les résultats des étudiants de Blaise aux concours sont bons et cela a conforté mon choix.

– AABP : Tu touches un point important en effet, sachant que beaucoup d’étudiants de prépas « provinciales » se sentent potentiellement dévalorisés comparés à leurs camarades faisant partie de prépas dites plus prestigieuses. Qu’en penses-tu ?
– Max : On a souvent tendance à croire que l’herbe est toujours plus verte ailleurs, et il y a deux erreurs principales que l’on fait généralement avec ces classements de CPGE. La première erreur c’est de croire que ces classements hiérarchisent des CPGE, alors qu’en réalité ils hiérarchisent les résultats de différentes classes dans différents établissements sur une année donnée. Cela implique que si le classement est bon c’est que cette classe d’élèves l’a été, pas nécessairement la CPGE qu’il y a derrière. Par exemple si l’on crée une classe de CPGE au fin fond du Larzac avec tous les étudiants ayant eu 20 au bac je pense qu’ils auront de bons résultats, mais cela ne veut pas dire que cette prépa est exceptionnelle. La deuxième erreur principale c’est de juger la performance nette de ces élèves au lieu de leur performance relative. Il est plus important d’entrer dans une prépa qui va nous aider à grandir et à développer nos compétences plutôt qu’une institution qui va entraîner des « bêtes de concours ». Et nous avons la chance d’avoir d’excellents professeurs ainsi qu’un cadre de travail et une atmosphère exceptionnelle à Blaise Pascal !
– AABP : De ton coté, peux-tu nous en dire un peu plus sur ton expérience personnelle en CPGE ?
– Max : Avec le temps on a toujours tendance à oublier les mauvais moments et à embellir les bons, et une fois qu’on connait le résultat de nos efforts, la perception change forcément. Personnellement j’ai pris énormément de plaisir durant ma prépa. Deux ans de dur labeur avec les mêmes personnes cela crée beaucoup de liens et d’excellents souvenirs, c’est vraiment ce que je retiens en premier. Ensuite la rigueur intellectuelle et le fait « d’apprendre à réfléchir » est aussi hyper gratifiant, même si c’est au final très compliqué. Et pour finir, ce qui m’a vraiment comblé c’est de me présenter aux concours de deuxième année en me disant que j’avais mis toutes les chances de mon côté, que je me présentais au « top de ma forme », et que quels que soient les résultats j’avais donné le maximum.
– AABP : Quelle était ton organisation de travail à l’époque ? A-t-elle changé entre la première et la deuxième année ?
– Max : Au niveau des cours j’étais bon en mathématiques en première année mais avec des lacunes dans les deux autres filières à gros coefficients : Culture Générale et Géopolitique. J’ai donc consacré une bonne partie de ma deuxième année à me concentrer sur ces matières sans pour autant en délaisser aucune autre. Au niveau organisation j’ai gardé une pratique sportive régulière et intense en première année, je continuais d’ailleurs à faire des compétitions de natation le weekend, cela m’a permis de garder cette « bulle d’air » en dehors des cours afin de me vider la tête. J’ai seulement ralenti à partir de Décembre de deuxième année. Au niveau de mon organisation de travail, je prenais vraiment soin de mon sommeil, afin d’être au top en cours, et je valorisais l’efficacité plus que la quantité. Je me faisais aussi beaucoup de planning de travail pour mes weekends et vacances. Au final, le plus gros changement pour moi entre la première et la deuxième année a été mentalement : j’étais vraiment concentré sur l’objectif final et déterminé à atteindre les objectifs que je m’étais fixés.
– AABP : Qu’est-ce qui t’a le plus marqué au cours de ces deux années ?
– Max : Hmm, c’est toujours difficile d’isoler une chose en particulier… mais si je devais quand même le faire je pense que c’est le fait de se donner un objectif au long-terme, d’y accorder toute son attention pendant de longs mois et de tout faire pour se dépasser afin d’y arriver. Je me suis vraiment découvert une force de caractère et elle continue de me servir depuis lors !
– AABP : Quels conseils aurais-tu aimé avoir avant ou durant ta prépa ?
– Max : Tout d’abord continuer d’avoir une activité en dehors de la prépa afin de s’aérer l’esprit, cela peut être le sport pour certains, les séries TV pour d’autres, jeux vidéo, livres, voir ses amis, etc. Il faut faire attention à ne pas tout couper au fur et à mesure de sa prépa. Ensuite ne jamais négliger son sommeil ou son alimentation, c’est beaucoup plus important qu’on ne le pense. Ne pas toujours prendre ce qu’on nous dit pour argent comptant, car les conseils de chacun ne s’appliquent pas forcément à tout le monde. Également cela ne sert à rien de toujours vouloir se comparer avec les autres sur ses notes ou ses révisions, il faut se concentrer sur soi-même, se faire son programme et travailler avec sa propre stratégie. Et pour finir, je pense que la chose la plus importante que j’aurais aimé connaitre c’est le concept de « mentalité de croissance » ! J’invite vraiment tout le monde à se renseigner sur ce sujet.

L’École de Commerce : ESSEC Business School
– AABP : Merci pour ces conseils ! Et donc après deux années de prépa, tu as intégré l’ESSEC en Septembre 2012. Pourrais-tu nous raconter quel a été ton parcours académique (cours, spécialisations, échanges universitaires…) ?
– Max : A l’ESSEC le parcours de chaque étudiant est unique une fois entré en période Master à partir de la 2e année car tous les trimestres nous devons choisir si nous prenons des cours, partons en échange à l’international ou en stage, voire même pour certains en apprentissage. Cependant, on doit tous valider un certain nombre de mois de stage, de cours, et d’expériences à l’international. De mon côté j’ai suivi les cours fondamentaux de première année comme tous mes camarades. J’ai ensuite attaqué la deuxième année en choisissant de rester sur le campus pour prendre des cours et essayer de valider mes matières obligatoires avec les meilleures notes possible car je voulais partir en échange aux États-Unis. En effet j’ai toujours un faible pour les US et vu que l’attribution des échanges se faisait en fonction de nos notes, j’ai voulu mettre toutes les chances de mon côté. Au cours de la troisième année j’ai encore une fois choisi de ne pas partir en stage ni en échange et je me suis lancé dans deux spécialisations totalement différentes : j’ai participé à la première promotion de la « Strategic Business Analytics Chair » et j’ai aussi fait partie de la « International Sports Marketing Chair ». Au sein de la première, j’ai pu apprendre à coder et j’ai aussi eu l’opportunité de travailler pour plusieurs entreprises d’envergure mondiale sur des projets d’analyse de données très excitants dont notamment le Tournoi des 6 Nations de rugby, pour lequel j’ai développé plusieurs algorithmes de mesure de performance des joueurs et équipes en partenariat avec Accenture. Au sein de ma spécialisation en Marketing Sportif j’ai aussi eu la chance de travailler pour adidas sur un projet marketing pendant 6 mois, ainsi que d’aller en Suisse et à Londres afin de rencontrer plusieurs organisations mondiales telles que l’UEFA, le CIO, la FIBA, le circuit WTA, World Rugby, etc. À la suite de cette troisième année passée sur le campus de l’école, je suis parti en stage pendant 6 mois puis en échange MBA aux États-Unis au sein de l’Université de Caroline du Nord (UNC). C’était d’ailleurs mon choix #1, non seulement pour son excellence académique, mais aussi pour son équipe de basketball universitaire où sont passées les plus grandes stars NBA telles que Michael Jordan et Vince Carter !

– AABP : Tu as donc choisi de rester plus longtemps sur le campus dans un premier temps avant de partir en stage puis en échange… mais comment en es-tu arrivé à faire ces deux spécialisations si différentes ?
– Max : J’étais intéressé par l’industrie du Sport depuis la prépa. A l’époque, nous avions eu des entretiens de personnalité au cours de la deuxième année pour lesquels j’avais analysé mes centres d’intérêt et j’ai construit mon projet professionnel de l’époque autour de l’industrie du Sport. Au fur et à mesure des années et des cours en école je me suis de plus en plus renseigné, j’ai pris contact avec des professionnels du secteur, j’ai beaucoup lu et posé de questions. C’est grâce à ce processus que je suis vraiment devenu convaincu que c’était ce que je voulais faire. En parallèle j’ai également eu la chance de rencontrer un professeur de Marketing qui enseignait son cours de matière très analytique. J’ai vraiment pris goût à l’analyse de données, mais ce qui a fini de me convaincre cela a été un voyage que j’ai fait entre ma deuxième et troisième année d’école.
– AABP : Que s’est-il passé ?
– Max : Je venais de finir mes cours et notamment celui où j’ai pris goût aux analyses de données, et j’avais prévu depuis plusieurs mois de passer 10 jours de vacances aux États-Unis durant l’été. J’en avais profité pour contacter le maximum de personnes possible travaillant dans l’industrie du sport là-bas, et j’ai eu la chance de pouvoir partager un café avec le responsable « Strategic Marketing & Analytics » du club de NBA et de NHL de Washington DC. Cette rencontre m’a vraiment ouvert les yeux sur les opportunités de croiser mes deux centres d’intérêt : l’industrie du sport et l’analyse de données. En sortant de ce café j’avais l’impression d’avoir eu une révélation, j’étais convaincu que c’était ce que je voulais faire.

– AABP : Ah oui donc tu n’as pas hésité à sortir des sentiers battus afin de discuter avec des professionnels pour valider tes intuitions ! Et au niveau associatif, quel a été ton parcours en école ?
– Max : J’étais hyper impliqué ! C’est d’ailleurs aussi une des raisons pour lesquelles je suis resté sur le campus en 2e et 3e années. J’ai intégré l’association professionnelle ESSEC Solutions Entreprises – qui n’est autre qu’une entreprise de conseil aux entreprises gérée par des étudiants – en fin de première année et j’y suis resté jusqu’au début de troisième année d’école. Ces deux années m’ont appris à gérer une entreprise avec un chiffre d’affaires de plusieurs centaines de milliers d’euros, à gérer des études, des responsabilités ainsi que des clients renommés tels qu’Orange, Elior, ou McKinsey, ainsi que des centaines de chargés de missions qui travaillaient pour nous ! J’ai aussi fait partie de l’ESSEC Rugby Team en tant que joueur pendant 3 saisons, mais aussi en tant que Trésorier et j’ai participé à l’organisation du Tournoi des Grandes Écoles durant deux éditions en tant que Responsable Partenariats puis Trésorier.
– AABP : Encore une fois un parcours assez chargé ! Et pourrais-tu également nous résumer ton parcours professionnel au cours de cette même période (stages, expérience entrepreneuriale, etc.) ?
– Max : Finalement mes expériences académiques m’ont offert énormément d’opportunités professionnelles car j’ai pu travailler pour de très grands groupes sur des sujets très intéressants (6 Nations, Accenture, adidas, Mars, etc.). Mes expériences associatives m’ont également beaucoup appris en terme de gestion d’équipe, démarchage, relation client et négociations. Au niveau des stages j’ai fini ma troisième année en faisant un stage au sein de l’incubateur chez Michelin pour le compte d’un projet Big Data Analytics de grande ampleur ! Mon travail avait pour but de définir la stratégie du groupe sur comment monétiser les compétences de Michelin en termes d’analyse de données de conduite. J’ai aussi développé un algorithme de recommandations de pneumatiques en fonction de la conduite de chacun.
La vie après l’École
– AABP : Tu as donc fini ton parcours en école sur un stage chez Michelin suivi d’un échange universitaire d’un semestre aux États-Unis. Peux-tu nous raconter ton saut dans la vie active : quel a été ton premier boulot ? Comment l’as-tu trouvé ?
– Max : Exactement ! Alors que j’étais en échange j’ai continué à contacter beaucoup de personnes qui travaillent dans l’industrie du sport afin de parfaire mes connaissances et d’avoir des retours d’experts du secteur sur ce que je voulais faire. J’avais au final assez peu d’espoir de trouver directement un premier boulot dans l’analyse de donnée fans / clients dans l’industrie du sport. Ma stratégie était de tenter chez les « leaders » du marché et j’ai donc contacté beaucoup de clubs de basket américains (NBA). J’ai fait plusieurs tours d’entretiens avec plusieurs d’entre eux mais cela n’a pas débouché malheureusement. Je commençais à regarder les opportunités en dehors de l’industrie du sport lorsqu’un coup de téléphone a tout changé. J’avais donc pris pour habitude de faire 2/3 échanges téléphoniques par semaine avec des experts du secteur, d’envoyer des dizaines d’emails par semaine. Un jour j’ai eu la chance de discuter avec le Directeur de l’équipe « Fan Relationship Management » de City Football Group au téléphone. L’échange s’est super bien passé et ce dernier m’a proposé de postuler chez eux. Deux semaines plus tard j’étais embauché et j’ai changé mes billets d’avion pour aller travailler chez eux directement après la fin de mon échange.

– AABP : Incroyable ! Et que faisais-tu donc chez City Football Group ?
– Max : Pour l’anecdote la personne qui m’a recruté ne connaissait pas du tout les écoles de commerce françaises, et ce qui l’a convaincue ce n’est pas le nom sur le CV mais bien mes expériences et ma motivation. Je précise car n’importe qui aurait pu faire de même en ayant fait une autre école. Chez CFG j’étais « Data & Insights Analyst ». Mon rôle était de gérer et d’analyser les différentes bases de données de fans des clubs détenus par le groupe à travers le monde : Manchester City FC, New York City FC, Melbourne City FC, Yokohama, et d’autres plus petits. Je m’occupais des tâches quotidiennes d’entretien et d’amélioration des bases, ainsi que le « reporting ». Mais pour moi le projet le plus gratifiant a été de lancer toute la partie « Data Science » avec le développer d’algorithmes d’aide à la décision. Par exemple prédire le renouvellement de chacun des abonnés de chaque club et faire des recommandations marketing en fonction, ou alors faire de l’analyse prédictive afin de maximiser les taux de conversion des équipes de ventes de billets VIP par téléphone.
– AABP : Je suppose que c’était super ! Mais pourquoi es-tu parti alors ?
– Max : Je n’avais aucune intention de partir pour être honnête ! C’était vraiment super, une équipe géniale et une ambiance exceptionnelle. Il y a environ deux ans désormais, j’ai reçu un message LinkedIn d’une ancienne connaissance que j’avais rencontrée la première fois lors d’un voyage sur Londres. Il travaillait à l’époque chez World Rugby, la Fédération Internationale de rugby, et il m’a contacté car il venait de se faire débaucher par la Formule 1, et il voulait me ramener dans ses valises. Il m’a mis en contact avec la personne qui est aujourd’hui mon boss, le courant est super bien passé et le challenge était incroyable. Malgré son histoire et son ampleur, la Formule 1 n’avait aucune donnée sur ses fans il y a encore 1 an et demi, aucune stratégie et une page entièrement blanche à écrire ! C’était une opportunité qui était beaucoup trop belle pour la laisser passer, et j’ai donc rejoint la F1 il y a un an et demi et je me suis installé sur Londres.

– AABP : Quel est donc ton métier et que fais-tu ?
– Max : Je suis donc arrivé à l’été 2017 alors qu’il n’y avait aucune stratégie et aucune infrastructure liées à l’analyse de donnée. Je suis « Insight Manager » et mon rôle a d’abord été de créer la toute première base de données des fans de F1 en agrégeant les données de tous nos sous-traitants et partenaires. Au-delà de cet aspect je suis également en charge de tous les projet d’utilisation et d’analyse de ces données, notamment avec le lancement de notre nouvelle offre F1TV cette année ! La deuxième partie de mon rôle c’est de faire le lien avec nos partenaires globaux – Heineken, Rolex, Pirelli, Emirates, etc. – sur tous les aspects quantitatifs. Par exemple leur exposition média via les Grands Prix diffusés dans plus de 200 pays dans le monde, ou les différentes activations que l’on peut faire avec eux. Je suis également en lien avec les équipes de F1 afin de les aider à mieux gérer leurs données média et fans. Et finalement j’ai aussi pour objectif de promouvoir nos activités et initiatives d’analyse de données dans le monde, j’interviens donc sur des conférences dans le monde entier. Cette année j’ai eu la chance d’intervenir au MIT à Boston, ainsi qu’à Singapour, Amsterdam, Dallas, Düsseldorf, etc.
– AABP : Cela fait plaisir de voir que tu as trouvé ta voie et que tu t’y épanouis pleinement ! Quel conseil donnerais-tu aux actuels préparationnaires et étudiants en écoles qui cherchent encore leur voie et/ou passion ?
– Max : Je pense qu’il ne faut pas qu’ils aient peur de poursuivre leurs centres d’intérêt et leurs rêves. C’est dur de parler de passion à cet âge car cela prend du temps pour se construire. Mais pour espérer se trouver une passion, il faut sortir de sa zone de confort et se renseigner sur ses centres d’intérêt, que ce soit la musique, le cinéma, le sport, le vin, les jeux vidéo, ou tout autre chose. Il faut creuser chaque piste et voir lesquelles continuent d’avoir du sens. En général un projet professionnel se constitue à la croisée d’une industrie et d’un type de métier. Ce qui peut aider c’est aussi de réfléchir à ce qu’on aime et ce que l’on n’aime pas faire, d’échanger avec beaucoup de monde sur les expériences de chacun afin de se construire sa propre opinion. Finalement, le plus important c’est aussi de comprendre que même si le talent compte, les efforts comptent double ! Je suis absolument convaincu que quiconque peut accomplir ses ambitions à partir du moment qu’il ou elle se donne tous les moyens pour réussir.
– AABP : Merci beaucoup Max pour ton temps et cet échange très enrichissant ! Pour finir, as-tu une résolution pour 2019 ?
– Max : Celle de 2018 était de lire plus, donc pour 2019 je dirais d’écrire plus ! Je n’ai pas publié d’article depuis 2017 donc il est grand temps que je m’y remette 🙂
– AABP : Et des projets d’avenir ?
– Max : Beaucoup ! Je m’intéresse de plus en plus aux autres facettes du domaine de « l’entertainement » au-delà du sport et je m’informe sur les industries du cinéma et de la musique. J’ai d’ailleurs déjà prévu mes prochaines vacances au cours desquelles j’essaierai d’en profiter pour approfondir mes connaissances lorsque je serai à Los Angeles pour deux semaines fin Mars 2019 !

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